500 fautes d’orthographe. Passe en revue les fautes les plus courantes et donne une explication de l’orthographe de ces mots facile à mémorise
500 fautes d’orthographe
Mathématiquement, de notre bouche sortent plus de fautes que nous n’en commettons avec un stylo ou sur l’ordinateur. Sauf que celles-ci, étalées sur le papier, sont plus durables que celles-là, jetées au vent, vite oubliées. Des plus grossières et inexcusables – comme ignarde à la place d’ignare – à celles d’un français alambiqué et piégé – comme un ordre exprès et non express -, l’ouvrage de Bernard Laygues permet à ceux qui veulent améliorer, voire perfectionner, leur usage de la langue d’éviter les principales erreurs de l’écrit. »
Bernard Pivot
Evitez de dire… Dites p lutôt.. ., de Bernard Laygues, est l’un des grands suc-
cès de la collection des « Dicos d’or».
Je n’ en suis pas étonné parce que cet ouvrage, simple, clair et pratique, apporte les bonnes réponses à ceux, très nombreux, qui craignent de choquer les oreilles de leurs interlocuteurs par des fautes d’accord, d’usage, de sens, de grammaire, etc. Ça s’entend et ça la fiche mal.
Mais, à côté de ce guide du savoir-dire, manquait un guide du savoir-écrire. Après les services rendus à l’oreille, l’œil réclamait les siens. 500 fautes d’orthographe à ne plus commettre, du même Bernard Laygues, remplit cette nouvelle mission de service public. Avec une égale exigence d’exac titude, de logique, avec un aussi grand souci d’éclairer, d’ex pliquer, de corriger, de redresser. Avec le même sentiment d’être utile pour tous les francophones – je pense, entre autres, aux Belges, aux Suisses et aux
Québécois, si soucieux de parler et d’écrire juste – qui savent bien que notre langue est remplie de pièges et qui ont l’ambition d’y tomber le moins souvent possible.
Hormis les scribes misanthropes , nous parlons plus que nous n’ écrivons. Mathématiquement, de notre bouche sortent plus de fautes que nous n’en commetons avec un stylo ou sur l’ordinateur. Sauf que celles-ci, étalées sur le papier, exposées aux regards, sont plus durables que celles-là, jetées au vent, vite oubliées. C ‘ est pourquoi un ouvrage commode, qui nous pennet d’éviter les principales erreurs que Bernard Laygues a collectées, pendant toutes ses années de correcteur professionnel, est une aubaine.
Du pain béni – ou bénit ? Observons la différence entre les deux Laygues : je puis parler de pain béni(t) sans savoir l’écrire. Mais si je dois prendre la pl urne…
Évitez d’écrire… Écrivez plutôt est sans limites.
Dans un recueil comme celui-ci on pourrait mettre la quasi-totalité des mots. Pour un débutant, chacun présente une difficulté orthographique. Le livre s’adresse non pas aux personnes qui apprennent le français, mais à celles qui veulent améliorer, voire perfectionner, leur usage de la langue.
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